C'est chaque fois le même scénario. On sort pour profiter de la douceur du soleil. In capable de rester assis, on se lève, on fait un tour de terrasse, le nez en l'air. Et puis, on sent l'olive qui s'écrase sous les pas. Alors, on se penche pour les ramasser. On n'était pas parti pour, mais, bon, c'est là, juste en passant. Une main, c'est vite rempli, alors, on glisse la première poignée dans la poche, et piqué au jeu, d'olive en olive, une heure plus tard, on y est toujours. Les chaussures un peu crottées. Les petits tas accumulés sur le rebord d'un muret. Les poches pleines.
Et l'impression d'être à sa place. Exactement.
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