vendredi 19 décembre 2014

Arlette écoute "Demain j'arrête"

Après le film de fiiille, l'audiobook de poulette. Comment égayer quelques heures de repassage, des kilomètres vers Villeneuve Loubet par le Camping du Sourire, cher à Grégoire Delacourt ?
Avec un CD dans le mange disque, relayé par un appareillage de haute technologie: mon casque bluetooth Sonixx et un ipod dans la poche arrière.

Ce demain j'arrête n'est pas un chef d'oeuvre de la littérature, loin s'en faut. Si on excepte une fin assez plate, quelques énormités trop téléphonées, c'est quand même beaucoup plus sympa que la pub radiophonique.
Evitez les remerciements de l'auteur sur la plage 77, c'est déprimant, on dirait la liste d'une veillée funèbre.

Next: Kafka sur le rivage.

C'est ça, l'éclectisme selon Arlette.

mercredi 17 décembre 2014

Arlette regarde un film pour filles

A l'heure où des hordes de chiennes en furie fustigent les jouets "genrés" ( participassé du verbe genrer, je genre tu genres, il genre...) Arlette regarde un film de fille, c'est à dire nunuche, sirupeux et dégoulinant à souhait. Une Cameron Diaz pas encore défigurée et qui me fait étrangement penser à une certaine Sandra...piquante et allumée (pas Sandra, l'actrice), et une Kate Winslet, insipide et niaiseuse, ce qui n'est guère étonnant puisqu'elle fut l'héroïne d'un film dont SAIH-lin Dion a beuglé la BO pendant des années, sans se prendre une seule goutte de flotte sur le visage.
Et que je n'ai pas vu, alors, pensez, je peux balancer!
Bref, j'ai adoré (traduisez, je ne me suis pas endormie). Papa, en revanche, n'a pas dépassé la 4 ème minute. D'entrée, il a compris que ce n'était pas pour lui. Le sommeil du juste Morphée l'a pris dans ses bras.
Il manquait juste un truc: des larmes.


vendredi 28 novembre 2014

Arlette renoue avec l'EDHEC

Deux fois en un mois, après une pause de 25 ans, c'est un record! Faut-il y voir un signe? Ou alors, est-ce qu'une génération, c'est le temps minimum pour digérer ses études et revenir hanter épisodiquement des lieux qu'on n'a même pas connus, "tellement ils n'étaient même pas sortis de terre à l'époque"? - la bancalité de cette expression me ravit!
l'Edhec - maintenant Edhec Business School ('ttention!), ça a été 3 ans de ma vie.
3 années qui ont compté.
C'est devenu un bâtiment sur la prom', où je fais des rencontres. Et je reçois en retour l'espèce de sentiment que j'y suis encore à ma place.
mmmmhm!


Oui, bon, j'ai encore une marge de progrès sur le selfie.

jeudi 7 août 2014

Arlette, coach en perte de poids

Un moment important ce matin: une première séance de coaching avec un nouveau client, et une problématique qui me touche particulièrement : accompagnement perte de poids.
Carte vierge, état coach, accueil inconditionnel et c'est parti. Je n'ai pas regardé l'heure, le téléphone était coupé, et naturellement, l'objectif s'est dégagé. Il l'a écrit lui-même sur le cahier dans lequel j'ai pris mes notes.
Une séance non conventionnelle, mais riche, au cours de laquelle de nombreuses choses ont "émergé".
et une formule imagée qui me plait bien "le kilo d'or".
La 2 ème et la 3 ème sont programmées.
Qui du coach ou du coaché arrivera le premier?

Arlette et sa poubelle de table

C'est elle. Une soupière ancienne en provenance directe de chez ma grand-mère. Des dimensions intéressantes, diamètre 30 cm, et hauteur modeste autour de 12-15. Légère, résistante, diswasher free, elle permet de recueillir directement les pelures de patates et de concombre sans passer par la case " tas sur le plan de travail". 
Un très bon point pour l'hygiène. 
Et pour le côté " expérimentation scientifique", on peut observer en famille les effets de la fermentation, le développement des moisissures, et rentabiliser la loupe binoculaire du ptit dernier.
Avant de vider le tout dans le composteur. Ici, à l'île blanche, on est branché développement durable et eco citoyenneté. 

lundi 21 juillet 2014

A room of one's own

En rentrant de son séjour chez mon ex-meilleure amie, mon fils m'a fait cette remarque sur la façon de vivre qu'il a observée dans une autre maison que la sienne: le matin, elle se lève tôt pour avoir son moment à elle."
Ce 21 juillet, à 6h 19, dehors à l'ile blanche, au matin d'une journee qui s'annonce longue et torride, je médite cette petite phrase.
Ce dont une femme a besoin, c'est cela. Un moment à elle. 
Une chambre à soi.

vendredi 11 juillet 2014

Arlette et le Positivisme de Madame l'Archi. Part 1


Ne pas se laisser abattre. Et assumer.
Choisir une jolie flûte. Un endroit délicat. Un carnet au toucher de soie. Et un stylo-plume qui glisse.

Arlette montre ses cuisses


Un selfie de mes gambettes, en découvrant ces deux hématomes. Mais où les ai-je donc attrapés?
Mon pad me proposait, à l'aide de la baguette magique "améliorer". J'ai cliqué, pensant voir les choses mincir, se muscler, bronzer, scintiller, mais rien. Les mêmes pareils.
Pfft! La techno-tablette, c'est pas encore au point.

Arlette et le positivisme de Madame l'Archi. Part 2


Ce midi, j'ai reçu un cadeau. Etrange, coïncidence, qui fut le sujet d'une discussion récente. Elle, disait avec résignation, qu'elle s'était choisie un cadeau pour son anniversaire. Ses 40. Que oui, la bague serait conforme à ce qu'elle souhaitait, puisqu'elle l'avait dessinée elle-même.
Mais ce qui lui aurait fait plaisir, c'est des attentions. Ces petits riens sans forcément de valeur marchande, mais chargés d'intentions et d'amour. Chargés de la personnalité de celui-celle qui lui aurait offert. Et il n'aurait pas fallu la pousser beaucoup pour qu'elle dise "mon frère, voilà ce qu'il aurait peut-être choisi pour moi..."
Choisi pour moi.
Compter.
Exister.
A travers un objet, une phrase manuscrite, une carte-à-message, une chanson surprise de sa chorale enfantine.
Alors, ce matin, quand j'ai reçu ma trousse de chocolats-pour-le-café accompagnée d'un petit livre de jardinage, j'ai rougi de joie.
C'était charmant, inattendu, une vraie surprise.
Et j'ai pensé à Elle. Parce que je sais qu'elle aurait adoré.

Arlette et le positivisme de Madame L'Archi. Part 3


Cela se passe sur Facebook. Le réseau qui a remplacé les bons vieux blogs. Pourtant, moi, j'aimais bien mon blog. 5 années d'Arlette à Malo, fermé pour prévenir la malfaisance, puis 2 ans d'Arlette Malo, la même mais différente.
Et puis, me rvlà. 
Avec les défis positifs de Madame l'Archi.
3 trucs par jour, pendant 5 jours (matin midi et soir?).

Aujourd'hui. J'ai enfin pu déjeuner vers 16h30. Du poisson décongelé sans goût, des carottes courgettes trop cuites qui trempaient dans leur eau de cuisson depuis 24h, et le riz semi complet de la semaine.
Le tout, sur la nappe à pois toute neuve reçu ce day, et dans une assiette du service de mariage. Ya plus de mariage, mais il reste le service. Certaines assiettes ont la vie dure.
Et la coupette de ma grand-mère, celle qui fait penser aux vins d'honneur des noces de campagne.