42 ans. Très tôt vendredi matin. Arrêt cardiaque.
On prend ce genre de nouvelle comme un coup au ventre. Sans vraiment réaliser.
Et puis, on lit les articles des journaux.Sportifs. C'était un sportif, en retraite.
Et ce matin, à l'heure où le corps a eu sa ration de sommeil. Cette réflexion, glissée dans mon cou.
Si moi aussi je dois partir sur un arrêt cardiaque, je voudrais que ce soit aussi tôt le matin. Comme là, maintenant.
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