mardi 11 décembre 2012

Après.

D'abord, il y a la stupeur, la douleur, l'affolement. Puis l'effervescence, tous ces témoignages de sympathie, d'amitié. Les préparatifs des obsèques, j'imagine, les visites qui défilent, la famille qui entoure. Et puis après. Quand tout le monde est rentré chez soi. Quand on referme la porte avec un soupir, la tête ailleurs. Une place vide à table. Des objets devenus incongrus sans son propriétaire. Une voiture dans la rue. Après. On fait comment pour continuer?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire