Lire Sagan un soir d'été, dans des draps frais en sentant la lumière décliner par la porte fenêtre ouverte.
Lire Sagan un soir d'été, dans une édition de poche trouvée près d'une poubelle.
jeudi 16 juin 2011
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Seulement "près" celui ou celle qui n'en voulait plus n'avait quand même pas eu le cœur de le jeter et se doutait qu'il trouverait preneur.
RépondreSupprimerBen, euh, en fait, c'était surtout pour pas dire "dans". J'ai connu l'expérience intéressante de "faire les poubelles" d'une fin de vide grenier à Roquefort. Et une poubelle de Roquefort, ça vaut largement une boutique d'un coin pourri. Du point de vue du contenu culturel!
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