mercredi 29 juin 2011

Arlette se la pète avec son baquet

Etre l'heureuse usufruitière d'un bac à se tremper, plus pompeusement appelé piscine par les pubs des hypermarchés, c'est toute une organisation, et un changement de vie radical!
Déjà, on veut à tout prix profiter de l'onde pure. Et naturellement bleue, comme sur les vrais dessins d'enfant.
Pour accéder au baquet, un joli tapis de bain, et des palettes transformées en escalier.
Que serait le barbotage sans la technique et les chiffres?
Le lieux des ébats nautiques. Si vous avez un jeu de mots sympa, je prends.
Le vestaire
Pour éviter de transformer la terrasse en stand farfouille de la croix rouge, un investissement sobre et utile. Mea culpa, pas du tout écolo. Fabriqué en Chine par des enfants e bas âge dans des conditions d'hygiène précaire à base de résidus de pétrole polluants et éclatés à l'énergie nucléaire. Mais 6,95€.






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