A la fin des années 80, le JT s'ouvrait sur le décompte des jours de détention des otages français au Liban.
C'est l'association d'idée qui m'est venue ce matin en consultant mon téléphone pour la nième fois. "On est toujours sans nouvelles des otages".
Une phrase générique, en quelque sorte. D'une universalité assez pratique. Somme toute.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire