Ils sont partis hier soir en traînant les pieds.
Ont laissé derrière eux trois éplorés.
Une grand-mère a tenté de les consoler.
Et chacun a sa manière, se résigne à la séparation.
L'une dessine pour "sa" Charlotte.
L'autre réclame une photo de Ferdinand, et la traîne partout avec lui, tel un doudou de papier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire