Avant, quand j'avais un coup de blues -spleen- je lui envoyais un petit mot. Oh, pas grand chose, pas de tirade soigneusement préparée-relue-corrigée.
On échangeait quelques conneries. Juste assez pour relativiser, se changer les idées, ravaler le trop plein.
Maintenant, je me morigène. A trop poser les pattes sur les toits chauffés à blanc, les chattes échaudées craignent tout et tout le monde.
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