Un jour, c'est un fils qui vous vend. Pour moins que rien.
Un jour, un proche. Un couteau, deux, trois...pour moins que rien.
Un jour, une amie, un ami. Tout à coup, sans semonce, la flèche vous touche là, où ça fait vraiment mal.
Plus rien n'a de sens, que le petit intérêt égoïste de l'un ou l'autre. Balayées les grandes valeurs fondatrices de l'amitié, de l'engagement, de l'humanité qu'on trouve parfois, en grattant la couche de surface superficielle.
Alors, se taire.
Et se demander si ce con de Pascal avec ses paris ridicules qu'on accommode à toutes les sauces ne mériterait pas un bûcher désinfectatoire.
Vive l'intrigue et la manigance, le calcul et l'égocentrisme.
Moi d'abord, moi surtout, moi et c'est tout.
Et après, le déluge.
Parfois les coups viennent du côté où on ne les attend vraiment pas, ça fait d'autant plus mal et ça remet à sa juste place ce qu'on prenait pour de l'amitié (65 ans tout de même dans mon cas...).
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