Me retrouver poussant un caddie dans Biocoop, c'était pas gagné. D'abord parce que c'est loin. Mon infaillible téléphone indique 11 km. Et surtout, ce Biocoop est situé dans l'endroit que j'ai détesté cordialement dès le premier jour où j'ai mis les roues dans le département : Mouans-Sartoux. Cerise sur le gâteau, le parking comprend au plus 12 places, dans une zone où ces dernières sont rares.
Un biocoop, normalement, vous l'imaginez au milieu des champs, avec des arbres et des prés à proximité, un peu de forêt, du calme et de la sérénité (autrement qu'en cristaux)mais pas entre l'entrée de l'autoroute et la caserne de pompiers...
Néanmoins, et grâce à la liste que Cécile m'avait envoyée le matin, je suis sortie vivante de cette aventure. Mais fatiguée. Cette ville-zone commerciale grouillante me plomber et traquer le gluten, le lactose et la calorie vicieuse, c'est pas une mince affaire, quand c'est écrit en tout petit sur les paquets.
Maintenant, reste plus qu'à utiliser tout ça de la manière la plus discrète possible, pour opérer la conversion en douceur. Sans anesthésie.
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