J'ai eu un journal, dans lequel j'écrivais. Au stylo, à la plume Reynolds, Parker, Waterman, sur du papier. Puis un jour, un blog, l'autre Arlette, que je tapais sur un clavier attaché à une tour, puis sur mes genoux peu importe où, dans un genre de book qu'on referme - clip- et qu'on glisse dans son sac.
Ces derniers temps, ceux qui sont connectés ont senti le saut dans la totale virtualisation. J'écris désormais les billets directement dans ma tête.
Plus de clavier, plus d'écran, 100% respectueux, et aussitôt pensé, aussitôt livré.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire