Sur la pointe des pneumatiques. Le parking aux trois quarts vide m'a paru engageant. J'ai trouvé facilement un panier à roulettes intact, sans batailler avec la pile. Traversé assez rapidement la zone fruits et légumes, dépassé l'etal de boucherie, rose-blanc agressif, pour gagner la zone marchande. Pour une première je ne me suis pas risquée trop avant: eau minérale gazeuse, lait uht, mouchoirs en papier et brioche tranchée pour le ptit dej des monstres aux dents molles.
Des pousseuses de caddie plus tout a fait enceintes, mais encore très fatiguées, des jeunes, des vieux...mais beaucoup moins de fourrure, de coupes griffées et de cachemire qu'au Casino du Rouret.
Je commençais à me deglacer quand je suis arrivée à la seule caisse ouverte, derrière une dizaines de caddies pleins. J'avais oublié combien on doit disposer de temps, quand on veut acheter des produits moins chers.
La cerise : le con qui s'etait tellement collé à ma souris qu'il avait dû en plier le rétro, et m'a obligé à me contorsionner pour réintégrer mon véhicule.
Voilà pourquoi j'aime bien mon casino de snob. Les cayenne se mettent a cheval sur deux places, et je peux ouvrir ma portiere en grand.
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