Un matin, la presse vous annonce un licenciement. Votre boîte, ex-fleuron de la haute technologie française, ferme votre site. Comme c'est un gros paquebot, la manoeuvre prend du temps. Et pourtant, un jour, ça y est. ça se traduit par une part de salaire qui disparaît, et la suppression des tickets restaurant.
Arlette sait compter. à 10€ le panier repas sophipolitain, ( et à ce prix-là, c'est pas le petit restau sympa entre collègues, c'est juste de l'à-emporter), 4 semaines par mois, ce sont 200€ qui se volatilisent.
Alors, à la guerre comme à la guerre. Le "tup" retrouve ses lettres de noblesse. Et son intérêt.
Pour l'étudiant en prépa, c'est un autre problème: entre manque de temps et queue de cantine, réchauffer son "tup" permet d'arriver en cours à l'heure...
Reste à assurer la logistique!
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