C'est le weekend. Un weekend très doux, sans enfants, sans obligations ni contraintes. Les fenêtres grandes ouvertes, on ne sait plus vraiment où s'arrête l'intérieur et où commence le dehors. On se frôle, pieds nus, peau nue, un voile de coton, une échappée de soie, quelques gouttes, quelles bulles...Ses lèvres appuyées, sa main ferme, les heures coulent, entre les sourires et les extases, de plongeon en repos alanguis.
C'est l'été sur notre île. Plus rien ne compte. Que nous.
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