
Avec Peter Mayle, tout est ensoleillé, gai, positif. Les méchants ne le sont qu'un peu, on mange, on boit, on se balade et on fait la sieste, tout au long des pages, et avec délectation.
Après une relecture quasi intégrale de Jane Austen, un peu de légèreté british s'imposait.
Plus grave cependant, ce constat: me voilà passée au stade des relectures. Maturité?
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