jeudi 7 avril 2011

Home, sweet home

A peine 3 mois que j'habite mon île. Dessinée par nous, sur mesure, à partir d'un cahier des charges en forme de patates à flèches.
3 mois qu'il m'est de plus en plus difficile de la quitter le matin.
Alors, depuis quelques temps, une envie germe dans mon cerveau: en faire ma base. Arrêter les transhumances quotidiennes. Pourquoi quitter la symbiose parfaite (hé hé! Marc Lévy est passé par là!) pour aller passer le plus clair de son temps avec des gens qu'on n'a pas choisis, dans des endroits moins propices à la concentration et à la production de génialités?
Alors, si vous avez des idées, allez-y! Envoyez-moi le business à développer en restant chez soi.
Je signale juste que je ne "reçois" pas à domicile, sous couvert d'un quelconque salon de massage, et que je ne "vends" pas au téléphone.
Je sais, reste plus grand chose.

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