En ce moment, c'est la bio de Steeve Jobs par Walter Isaacson lue par Lemmy Constantine qui transforme le moindre de mes petits trajets en voiture en délicieux instants de rêve et de délectation.
En bonne élève des philosophes divers et variés, au lieu de béer d'admiration devant la réussite financière de ce parcours hors du commun, je m'interroge: quel aurait été le destin de l'Apple Company si son manager et mentor avait eu l'intuition de l'intelligence collective?
Quel effort cela lui aurait-il demandé - et en aurait-il été capable- d'insuffler à ses équipe son formidable esprit visionnaire et cet enthousiasme délirant dans le respect des individus, en gommant les crises de larme, les coups de colère et les brimades?
Combien de temps et d'énergie auraient pu être économisés et mis au service d'un objectif à la fois commun et positif, sur le temps passé à calculer à qui décerner l'award de la plus grande résistance au Maître, et à discuter dans les couloirs de ses derniers éclats.
Je n'ai pas de réponse. Seulement des questions.
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