mardi 30 août 2011

Arlette, la nuit.

La nuit, je pleure en silence. Mon tout-petit me manque. L'avoir eu si joyeux, si vivant. Et puis, je pense à mon autre enfant. Si loin du petit garçon sautillant et souriant que je serrais dans mes bras. Alors, le désespoir et l'impuissance me submergent et les larmes coulent en silence.
En silence, il comprend. Il me serre dans ses bras...

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