lundi 20 août 2012

un départ, des pleurs.

Ils sont partis hier soir en traînant les pieds.
Ont laissé derrière eux trois éplorés.
Une grand-mère a tenté de les consoler.
Et chacun a sa manière, se résigne à la séparation.
L'une dessine pour "sa" Charlotte.
L'autre réclame une photo de Ferdinand, et la traîne partout avec lui, tel un doudou de papier.

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